Communiqué de presse

Le 26 décembre 2024, des agents du service de police de Thunder Bay ont été dépêchés sur la route 11/17 pour donner suite à des appels au 9-1-1 signalant la présence d’un homme armé qui marchait le long de la route. Lorsque le premier agent est arrivé sur les lieux, l’homme l’a insulté et a pointé un fusil de chasse dans sa direction. L’agent a continué à rouler. Une décision a été prise de fermer les autoroutes. Un autre agent a dépassé l’homme, puis a immobilisé son véhicule. Il s’est ensuite dirigé vers l’avant de son véhicule avec son arme. L’agent a ordonné à plusieurs reprises à l’homme de lâcher son arme. Cependant, l’homme s’est avancé vers l’agent, a levé son fusil en direction de l’agent et a appuyé sur la gâchette. Le fusil n’a pas fonctionné. L’homme a appuyé à nouveau sur la gâchette et cette fois, la portière de la voiture de police a été touchée. L’agent, qui s’était mis à l’abri derrière le côté passager arrière de son véhicule, n’a pas été touché. À distance, un autre agent a déchargé une seule fois son pistolet semi-automatique en direction de l’homme, qui a été touché au côté droit de son torse. Les agents se sont approchés de l’homme au sol, l’ont menotté et lui ont prodigué les premiers soins en attendant l’arrivée des ambulanciers paramédicaux. Après avoir évalué les éléments de preuve, le directeur de l’Unité des enquêtes spéciales (UES), Joseph Martino, a conclu qu’il n’y avait pas de motifs raisonnables de croire que les agents avaient commis une infraction criminelle en lien avec la blessure de l’homme.

Rapport complet du directeur (avec description de l’incident, éléments de preuve et analyse et décision du directeur) : https://siu.on.ca/fr/directors_report_details.php?drid=4424